L’oxyde de cuivre, un candidat pour la récupération d’énergie solaire ?
Catégorie(s) : Actualités, Recherche
Publié le : 6 décembre 2021
Des cellules solaires à base d’oxyde de cuivre (Cu2O), pourquoi pas ? Leur potentiel théorique approche celui du silicium cristallin, le cuivre est relativement abondant et non toxique…
Toutefois, à ce jour, les meilleurs rendements obtenus sont loin des valeurs théoriques et reposent sur des approches sous vide et/ou à haute température.
Une équipe du LMGP a levé ces limitations en recourant au dépôt spatial en couches atomiques (SALD).
Des couches minces de quelques dizaines de nanomètres ont été obtenues à seulement 260°C. Elles présentent d’excellentes propriétés de transport électronique, une faible quantité de défauts et sont aussi performantes en récupération que des couches dix fois plus épaisses.
Les chercheurs continuent à explorer cette piste prometteuse dans le cadre d’un projet ANR qui commence.
Contact : david.munoz-rojas@grenoble-inp.fr
Toutefois, à ce jour, les meilleurs rendements obtenus sont loin des valeurs théoriques et reposent sur des approches sous vide et/ou à haute température.
Une équipe du LMGP a levé ces limitations en recourant au dépôt spatial en couches atomiques (SALD).
Des couches minces de quelques dizaines de nanomètres ont été obtenues à seulement 260°C. Elles présentent d’excellentes propriétés de transport électronique, une faible quantité de défauts et sont aussi performantes en récupération que des couches dix fois plus épaisses.
Les chercheurs continuent à explorer cette piste prometteuse dans le cadre d’un projet ANR qui commence.
Contact : david.munoz-rojas@grenoble-inp.fr